Classe de 2009: Joan McEachern

Joan McEachern a le droit d’être fière du succès récent de l’équipe féminine nationale. D’après tout, elle était l’une des pionnières du programme féminin qui est maintenant devenu l’un des meilleurs au monde.



“Lors des premières années du programme, il avait une campe et puis on jouait quelques matchs, ” se rappelait Joan McEachern. ” Au fur et à mesure que le programme évoluait, on faisait beaucoup plus par la suite. Malgré le fait que nous avions eu des emplois à temps plein (en dehors du soccer), le soccer était devenu également un emploi à temps plein.”



Le programme canadien féminin n’existait même pas quand McEachern était enfant. En fait, elle avait déjà 24 ans quand elle a fait sa première apparence avec l’équipe nationale. Elle était déjà championne nationale à deux reprises avec son équipe de club, dont les Edmonton Angels.


Joan McEachern a le droit d’être fière du succès récent de l’équipe féminine nationale. D’après tout, elle était l’une des pionnières du programme féminin qui est maintenant devenu l’un des meilleurs au monde.



“Lors des premières années du programme, il avait une campe et puis on jouait quelques matchs, ” se rappelait Joan McEachern. ” Au fur et à mesure que le programme évoluait, on faisait beaucoup plus par la suite. Malgré le fait que nous avions eu des emplois à temps plein (en dehors du soccer), le soccer était devenu également un emploi à temps plein.”



Le programme canadien féminin n’existait même pas quand McEachern était enfant. En fait, elle avait déjà 24 ans quand elle a fait sa première apparence avec l’équipe nationale. Elle était déjà championne nationale à deux reprises avec son équipe de club, dont les Edmonton Angels.



” J’étais une joueuse offensive (avec mon club), ” a confirmé McEachern. ” J’ai joué au milieu du terrain sur l’aile et mon équipe s’attendait que je fournis l’offensive. “





McEachern a remporté le Trophée Jubilee avec les Angels en 1985, 1986 et lors de son début international en 1988. Sept ans plus tard, elle a mérité un autre titre national avec Coquitlam.



” J’étais très chanceuse, ” a avoué McEachern. “J’ai fait partie de bonnes équipes qui étaient composées de bonnes personnes aussi. “





Selon McEachern, elle était plutôt une joueuse de rôle parmi une équipe de vedettes. Elle a pris part au programme lors de la deuxième année de son existence et un an plus tard, elle a représenté le Canada lors du Tounoi d’invitation féminine de la FIFA qui a eu lieu en Chine en 1988.



Elle a également pris part dans trois Championnats de la CONCACAF (1991, 1993 et 1994). Lors de la compétition de 1994 qui a eu lieu à Montréal, elle a contribué à la réussite de l’équipe canadienne lors d’une toute première qualification dans l’histoire du programme canadienne pour la Coupe du monde féminine de la FIFA.



” C’était le meilleur sentiment du monde quand on s’est qualifié, ” a-t-elle dit. ” Nous étions très fières d’avoir réussi cet événement marquant ensemble comme équipe. “





McEachern a de quoi être fière après avoir fait le bilan de ses réussites et surtout en tenant compte du fait qu’elle a participé dans la première apparence canadienne lors d’une Coupe du monde féminine de la FIFA à la Suède en 1995. Dès alors, elle fait partie d’un groupe restreint de personnes sélectionnées au Temple de la renommée du soccer; elle n’est que la septième joueuse à mériter cet honneur.



” J’ai toujours travaillé fort, ” a confirmé McEachern. ” Je crois que mes coéquipières auraient dit que je faisais mon travail, point. Je savais mon rôle parmi l’équipe et j’ai répondu aux attentes à mon égard. “